● Au Mali, le gouvernement a adopté, mercredi en Conseil des ministres, un projet de décret pour « débaptiser des voies, places, édifices et établissements publics dans le District de Bamako et leur donner des noms de personnalités nationales ».
● La justice malienne a émis, cette semaine, des mandats d’arrêt contre deux responsables de compagnies aurifère pour des faits de blanchiment de capitaux.
● Après plus de 5 mois en détention, les 11 responsables politiques ont recouvré la liberté, jeudi 5 décembre 2024. Ils avaient été arrêtés, le 20 juin dernier, au cours d’une réunion dans un domicile à Bamako alors que les activités des partis politiques étaient suspendues.
● Au Burkina Faso, les ralentisseurs de vitesse sur les voies bitumées seront bientôt démolis. Selon le ministère des infrastructures cela « fait suite au constat des nombreux dommages causés aux usagers de la route et à l’infrastructure routière ».
● La Brigade mobile de contrôle économique et de la répression des fraudes, au Burkina, a procédé, cette semaine, à la fermeture de plusieurs boutiques et magasins pour non-respect des prix de vente des produits. Certains magasins étaient, par ailleurs, impliqués dans le reconditionnement illégal de produits. Dans certains cas, des produits périmés ont été découverts, annonce la Brigade.
● Au Niger, le groupe français Orano, spécialisé dans les matières nucléaires a annoncé, mercredi, avoir « perdu le contrôle opérationnel » de sa filiale minière.
● A Agadez dans le nord du Niger, le Groupement des sociétés nigériennes d’exploitation semi-mécanisée d’or a organisé rencontre avec les orpailleurs sur leurs obligations minières et fiscales. Selon l’organisation, les résultats visent entre autres à renforcer le civisme fiscal.