• Le Burkina Faso, le Mali et le Niger, ont annoncé lundi 22 septembre, leur retrait, « avec effet immédiat », de la Cour pénale internationale (CPI), dénonçant un « instrument de répression néocolonial aux mains de l’impérialisme ».
• Dans un communiqué en date du jeudi 25 septembre, le gouvernement de transition du Mali a indiqué que la Cour internationale de Justice lui a notifié « le refus de l’Algérie » de reconnaître sa compétence dans l’affaire de destruction du drone des forces armées maliennes par l’Algérie. Ce refus met fin à la procédure devant cette juridiction internationale.
• Plus de 4 mois après sa disparition forcée, le journaliste et militant El Bachir Thiam a été libéré, ont annoncé ses proches, dans la nuit du jeudi.
• Au Burkina Faso, le ministère de la Sécurité a annoncé, mercredi, la réduction du nombre de postes de contrôle routier qui passent de 385 à 40 autorisés sur 15 axes principaux. Ce dispositif de contrôle routier, modulable chaque mois en fonction des besoins sécuritaires, est effectif du 15 septembre au 14 octobre. Selon les autorités, tout autre poste de contrôle, en dehors de ce cadre, est considéré comme illégal.
• Lors du Forum Atomique Mondial qui se tient cette semaine à Moscou, le ministre nigérien des mines a annoncé, jeudi, l’intention de son pays de construire une centrale nucléaire à deux réacteurs de 1000 mégawatts chacun en partenariat avec la Russie.
• Le groupe français spécialisé dans les matières nucléaires Orano a annoncé ce vendredi 26 septembre 2025, une décision en sa faveur émanant d’un tribunal arbitral international concernant la mine d’uranium de la Société des Mines de l’Aïr (Somaïr) au Niger. Selon le communiqué, « le tribunal arbitral a enjoint à l’État du Niger de ne pas vendre, ni céder ni même faciliter le transfert à des tiers de l’uranium produit par la SOMAÏR ». En juin dernier, le gouvernement nigérien avait adopté, un projet d’ordonnance nationalisant la Société des Mines de l’Aïr, principal opérateur d’uranium du pays.