La restauration du patrimoine culturel et la réparation des préjudices subis en 2012 étaient au centre d’un échange auquel ont pris part des architectes, mardi 26 novembre, à Bamako.
Fin mars 2021, la Cour pénale internationale avait ordonné des réparations symboliques après la condamnation d’Al Mahdi Al Faqi suite à la destruction de sites historiques et religieux à Tombouctou en 2012.
Ces réparations visent à honorer la mémoire des bâtiments détruits et à renforcer la prise de conscience sur la préservation du patrimoine culturel malien.