Depuis l’annonce de la composition du nouveau gouvernement, lundi 24 mai, l’atmosphère est crispée à Bamako suite à l’interpellation du président de la transition et son Premier ministre par des militaires. Dans un communiqué rendu public ce mardi, le vice-président de la transition, le colonel Assimi Goïta, indique avoir placé le chef de l’Etat et le Premier «hors de leurs prérogatives». Une situation qui suscite beaucoup de réactions dans la capitale.
Sory Ibrahim Maïga, Mody Kamissoko