• Face à la pénurie de carburant qui perdure au Mali, de nouvelles rencontres ont eu lieu, cette semaine, à la Primature. Le Chef du gouvernement s’est entretenu avec le Groupement malien des professionnels du pétrole. Le Comité interministériel de gestion de crises et Catastrophes s’est également réuni, mardi et mercredi, autour de l’approvisionnement du Mali en produits pétroliers, a annoncé la Primature.
• Au Mali, trois nouveaux officiers supérieurs ont été nommés respectivement : Directeur de la sécurité militaire, Chef d’état-major général adjoint des armées et Chef d’état-major de l’armée de terre. L’annonce a été faite à l’issue du Conseil des ministres du mercredi 22 octobre 2025.
• Toujours ce mercredi, le ministère des Transports a ordonné à la compagnie Diarra Transport de « surseoir » à la reprise de ses services, initialement prévus pour le jeudi 23 octobre. Selon la note, cette décision fait suite à la diffusion, sur les réseaux sociaux, d’une vidéo dans laquelle, : « un membre de groupe armé terroriste affirme la conclusion d’un accord entre sa faction et la compagnie » pour la reprise de ses activités.
• Au Burkina Faso, l’ordre des avocats a « condamné », lundi, l’enlèvement, une semaine plus tôt, d’un de ses membres, Maitre Arno Sampébré, dans son cabinet par trois personnes armées.
• Un avant-projet de loi portant Code de l’urbanisme et de la construction au Burkina Faso, adopté en Conseil des ministres du jeudi 23 octobre évoque la problématique du stationnement dans l’espace urbain. Selon les autorités, le texte contraint ceux qui construisent les établissements qui reçoivent du public à prévoir des parkings pour le stationnement.
• Au Niger, un ressortissant américain, a été enlevé à son domicile, à Niamey, par des hommes armés, dans la nuit du 21 au 22 octobre, ont annoncé plusieurs médias. L’ambassade des États-Unis à Niamey a, par ailleurs, diffusé, quelques heures après, une alerte sécuritaire appelant ses ressortissants à la vigilance
• Le gouvernement nigérien a adopté, mercredi, en Conseil des ministres, un projet de décret portant revalorisation du Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) qui passe de 30.047 francs CFA à 42.000 FCFA, soit une augmentation de près de 40%.

