Trois principales raisons sont citées : le poids de la tradition orale, la responsabilité des parents vis-à-vis des apprenants, « la pauvreté des bibliothèques ». Ecrivain, professeur, étudiant et éditeur se prononcent sur le sujet et proposent des pistes de solution. Analyse.
*Ce sujet a été réalisé dans le cadre du dossier thématique sur l’éducation porté par 11 médias en ligne en Afrique francophone dont Sahelien.com.
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